La plupart des 240 pilotes, qui ont participé à la 2e édition des 2 dies de Trial Clàssic de Sant Julià de Lòria, sont repartis de l’Andorre avec l’idée claire de revenir dans 365 jours pour à nouveau prendre parti d’un évènement qui a lieu dans un environnement privilégié, avec l’avantage en plus que les obstacles s’adaptent au niveau des participants. L’adaptation se fait, évidemment, dans la mesure du possible vu que les organisateurs sont limités par l’orographie des montagnes andorranes.
Podiums de chaque catégorie.
Le dénominateur commun de la compétition a été l’égalité qu’il y eut entre les participants des différentes catégories. Comme on peut l’apprécier, à l’exception de la victoire relativement facile d’Oscar Mill dans la catégorie BLEUS, dans le reste, les positions d’honneur ont été décidées par des différences de temps minimales.
Appréciation des participants. Une grande partie des pilotes, qui se sont inscrits à l’épreuve de motos classiques d’Andorre, étaient déjà venus l’année dernière lors de la première édition et savaient très bien ce qu’ils allaient rencontrer sur le terrain, voici les commentaires majoritaires : Sans doute, on a vécu deux jours dans lesquels on a pu profiter du sport que l’on aime le plus. Ça a été très dur surtout à cause de la chaleur qu’il a fait, mais les zones et interzones où il y avait de l’eau nous permettaient de nous rafraichir et de reprendre des forces. Pour ce qui fait des organisateurs, ils ont très bien fait leur travail, il est évident que préparer un évènement de ce niveau doit être très compliqué.
Les ex-champions du monde, MIck Andrews, Yrjo Vesterinen et Bernie Schreiber, qui ont complété les deux journées de compétition, étaient ravis, même surpris, de l’expérience et n’ont pas doutés à dire que, s’ils pouvaient, on pourrait les voir à nouveau en Andorre.
Appréciation de l’organisation. Les organisateurs ont vécu, peut-être, les moments les plus intenses lors des jours préalables à l’arrivée des participants en Andorre, voici ce qu’ils nous ont dit : Il faut dire que les prévisions météorologiques nous compliquaient beaucoup notre travail. Le trial est un sport qui se pratique en montagne et dans les conditions qui se prévoyaient tout était plus compliqué. En plus avec 240 pilotes inscrits à la course... Grâce au civisme de tout le monde, on a pu compléter les deux journées de compétition sans problèmes dans ce sens.
Pour ce qui fait du développement habituel de l’épreuve, apparemment, tout s’est bien passé : C’est vrai, on a dû faire quelques corrections sur le moment, mais l’expérience de l’année dernière nous a aussi aidé. Tout de même, les imprévus qui sont survenus n’ont pas causé de grands changements. Par exemple, il a fallu prolonger le temps d’entrée au parc fermé, informer de quelques détails à la dernière minute... En tout, rien de bien grave, si l’on considère qu’on avait clairement augmenté (de 160 à 240 pilotes) la participation, avec tout se que cela implique.
Beaucoup de participants parlaient de la 3e édition de l’épreuve, voici le commentaire de l’organisation : Pour l’instant, on veut se reposer un peu après tout les mois de travail qu’a supposé l’organisation de la 2e édition. En ce moment, notre appréciation de cette année est très positive et on croit qu’on a toujours envie de continuer. De toute façon, avant de prendre une décision pour de bon, on veut examiner quelques aspects que l’on veut améliorer et voir s’il est possible d’y arriver. Un de ces aspects est le budget, on voudrait offrir un peu plus à tous ceux qui viennent et avec les conditions actuelles cela n’est pas possible. La 2e édition des 2 dies de Trial Classic de Sant Julià de Lòria est déjà dans le large curriculum du trial andorran. Les appréciations indiquent que c’est un projet porteur d’avenir, si les pilotes peuvent décider sans doute l’épreuve continuera.
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